Une surenchère de pornsickerie trans à l’ONU
« Teddy » Cook est une femme transidentifiée en « gay hardcore », homophobe de surcroît par la pratique de la « gay face », et fait partie d'un nouveau groupe d'experts de l'ONU chargé d'élaborer des règles sanitaires mondiales pour la santé des personnes qui se soumettent aux pratiques médicales de transidentification.
Source, article du Mail online paru le 27 février 2024 : « Les kinks secrets d’un(e) expert(e) trans onusien(ne) : un(e) activiste australienne fait la promotion du bondage, de la zoophilie, de l’exhibitionnisme, des médicaments et des opérations de changement de sexe financés par les impôts ; pourquoi rédige-t-(elle) des conseils pour l'organisation mondiale de la santé ? »)
Elle est aussi directrice de la santé de la communauté LGBTQ+ pour ACON, une organisation communautaire de Sydney à travers laquelle elle milite pour enfoncer les portes ouvertes : « les personnes trans méritent qu’on leur accorde de la dignité » et « elles ne sont pas des menaces ». Il existe toutefois un décalage entre ses propos et ses actes.
En parallèle, cette femme qui revendique le droit à la dignité pour ses semblables (quel droit n’ont-ils pas ?), vient d’être épinglée pour des publications pornographiques sur ses comptes de réseaux sociaux.
Le summum de la dignité, hormis les images d’orgies trans BDSM ? Une photo de zoo-criminalité mettant en scène un gros chien noir sodomisant un homme.
Bravo championne, tu es un vrai bonhomme.
Qu’à cela ne tienne, ses co-membres transactivistes onusiens du comité d’expert ne sont pas en reste. Une autre a été exposée pour avoir partagé des screens de conversations pornographiques de ses coups d’un soir Grindr.
(J’aurais pensé qu’il s’agissait d’autres femmes désorientées imitant le sexe gay hardcore entre elles en se choppant sur Grindr. Mais il apparait à la lecture de ces captures d’écran que des prédateurs mâles hétérosexuels soient déjà sur le coup et envahissent également la célèbre application de rencontres pour hommes gays, conscients d’y trouver des femmes proies faciles. A-t-on déjà vu un homme gay rêver de faire un cunnilingus et demander à être rassuré sur le fait que son interlocutrice ne cache vraiment pas une bite à la place de sa chatte ?)
Source : https://www.dailymail.co.uk/health/article-12973933/Outrage-hires-self-proclaimed-fa-t-trans-separatist-expert-health-panel-hardliner-posts-X-rated-Grindr-hookup-texts-extreme-views-child-trans-genocide.html).
L’article indique que cette femme a cofondé une campagne de sensibilisation appelée Grunt (un jeu de mots avec le cri supposé du mâle humain dans son labeur sexuel) qui promeut « des relations sexuelles chaudes et informées entre transgenres et cis ».
Et si vous avez encore quelques hésitations les gars, Grunt « a publié une brochure contenant des photos de personnes transgenres affublées d’un attirail de bondage dans des scènes pornographiques explicites avec de multiples partenaires. La brochure conseille aux personnes transgenres de sexe féminin de dire à leurs partenaires mâles à quoi s'attendre lorsqu'ils se retrouvent sous les draps. » La campagne suggère : « Faut que j’te dise, je suis trans. Donc j’ai un trou bonus/trou avant ». Autrement connu sous le nom de vagin. Alors, conquis ?
De nombreuses analyses féministes radicales se sont portées sur le cuir-moustache et la culture viriliste BDSM gay des années 80s-90s. Entre autres : Against sado-masochism de R.R Linden, D.Pagano, D.E.H Russel et S.L Star ainsi que Unpacking Queer Politics: A Lesbian Feminist Perspective de Sheila Jeffreys pour la plus récente (et faisant le lien entre le transing des lesbiennes).
Ces analyses montrent la dangerosité pour les femmes qui s’exposent à ces pratiques — au bénéfice de la satisfaction sexuelle d’hommes sadiques, wanabee dom/masters, et autres parangons de l’insécurité masculine — et qui ne font bien souvent que creuser dans leur mémoire traumatique (victimes d’incestes, de violences infantiles, etc.) en aggravant leur dissociation jusqu’au point de non-retour (la destruction de leur santé, de leur corps.)
Cook n’est pas une lesbienne, mais une hétérosexuelle manifestant tous les symptômes d’un passé traumatique de violences sexuelles.
Elle est un token du transactivisme (« les femmes aussi ! »), le dernier avatar des privilèges sexuels masculins, chargée de donner des conseils sur la santé « trans » (un état physique artificiellement dégradé qui s’identifie en tant que bonne santé ?) tout en manifestant d’inquiétants comportements autodestructeurs.
Imiter la sexualité masculine violente issue d’un conditionnement pornographique n’est pas de la « bonne santé ». Promouvoir des pratiques sexuelles traumatiques, ce n’est pas « progressiste ». Et puisqu’il faut aussi le rappeler, sodomiser un chien et vice versa, c’est de la maltraitance animale. Ces pratiques sont d’ailleurs des actes criminalisés.
Singer les pratiques sexuelles masculines extrêmes, c’est se conformer au patriarcat et à l’automisogynie.
Les femmes aménagent leur oppression comme elles le peuvent, elles sont avant tout les victimes d’une société patriarcale qui pornifie leur corps et les considère comme des marchandises. Toutefois, lorsque celles-ci font la promotion de leurs illusions et vendent leur maladie mentale de coping comme quelque chose de fun et d’empouvoirant, nous avons un problème. Elles entrainent d’autres femmes dans leur autodestruction.
Ce femmes ne se contentent pas d’être les complices de leur destruction, elles le sont aussi de celles des jeunes filles qui se cherchent. Qui cherchent à échapper au male gaze et à la prédation masculine. Qui haïssent leur corps à cause des images que leur renvoie cette société. À cause du harcèlement des garçons biberonnés au porno. À cause de tonton Jean-Mi qui les touchait dès qu’il venait à la maison. À cause de ces vieux mâles communs qui vous ont jeté des regards salaces de merlans frits dès vos dix ans au supermarché ou dans la rue. À cause de tous ces dégénérés qui vous ont arrêtée dans la rue pour vous ordonner de sourire, ou qui vous ont hurlé dessus à quinze mètres et se sont approchés dans le but de vous effrayer, juste pour vous lâcher un « t’es bonne » à l’oreille.
Imagination érotique et transidentité
Le porno n’est pas du sexe. Le porno n’est pas de l’érotisme. L’intelligence érotique, ça ne se développe pas à travers des images dégradantes et humiliantes. Mais il n’y a que ça à leur portée.
Aussi, certaines jeunes filles découvrent des BD et des animes érotiques « softs », destinés aux femmes, et figurant des relations entre deux hommes égaux - des alter ego (ça change !), ou reproduisant parfois les mêmes stéréotypes sociosexuels de différentiel de pouvoir entre un homme viril et un homme frêle. Elles vont développer leur imagination érotique à travers ces images. Certaines découvriront ensuite le gayporn et le hard-Yaoi. (Allez voir vous-même, il est 6 h 30, moi j'en suis au café).
Et puis, un beau jour, par le pouvoir de la sainte identité de genre, après avoir consommé des kilomètres de ces saletés, puis mis en pratique leurs fantasmes formatés à travers le jeu de rôle sur forum et les fanfictions de leurs héros préférés, les voilà devenues trans.
Il existe une flopée de forums dédiés au « rôle play cul » (acronyme : RPQ) spécialisés dans le YAOI et hantés par de jeunes filles qui endossent des personnages d’hommes gays. Ce sont des fabriques à « homme trans », ces femmes hétérosexuelles qui se disent gays.
Le mauvais sexe, c’est le contraire de la santé
Les pratiques sexuelles extrêmes ne sont pas saines, elles ne sont que l’expression de problèmes psycho-affectifs et mentaux sous-jacents. Ce ne sont là que des actes de déplacements autodestructeurs et des alternatives au suicide. Ces personnes ont besoin de véritables soins thérapeutiques psychiatriques, de thérapie cognitivo-comportementales et d’EMDR pour traiter leurs traumatismes, et non d’hormones du mauvais sexe et de boucheries chirurgicales.
C’est pour quoi les femmes traumatisées qui arborent une « gay face » et jouent à qui sera le mec le plus hardcore au pieu ne sont pas les mieux placées pour donner des conseils aux professionnel·les de santé concernant la prise en charge des personnes qui se soumettent aux pratiques « médicales » de la transidentité.
Ce faisant, l’ONU se rend responsable de promouvoir l’autodestruction assistée des femmes et des filles.