#3 Aujourd'hui en patriarquie
Une femme remise à sa place & une augmentation de la délinquance sexuelle des « femmes »
Une femme remise à sa place
Iszak Heni, femme transidentifiée en homme, était une compétitrice de natation hors pair dans son équipe universitaire. Prenant des hormones du sexe opposé, elle a décidé de concourir dans la catégorie de natation masculine, en accord avec son identité de genre.
Source : https://www.dailymail.co.uk/news/article-11608225/Trans-male-swimmer-Iszac-Henig-struggles-head-head-against-men-transitioning.html
Elle prouva ainsi malgré elle ce que n’importe qui avec un cerveau fonctionnel eût été capable de prévoir : les jeunes hommes qui ont traversé une puberté normale on un avantage compétitif très nettement supérieur aux femmes. Pas seulement aux adolescentes : aux femmes athlètes tout court. Vous pouvez vous en rendre compte en consultant les statistiques des athlètes lycéens garçons Vs athlètes femmes adultes.
Iszak Henig avait l’an dernier le statut d’All-American, un prix d’honneur décerné aux meilleurs athlètes d’équipe universitaire (et maintenant au lycée également). Cette année, dans la catégorie homme, elle a terminé 79ème sur 83 concurrents lors de sa dernière rencontre en novembre. Les seuls nageurs qu’elle a pu battre étaient des compétiteurs qui sont spécialisés dans d’autres épreuves et un nageur auquel il manque un bras. [Not a joke]
« Quelques jours auparavant, lors d'une rencontre contre l'Université Columbia, Henig avait terminé 10ème sur 11 (200 yards en nage libre) et 11ème sur 12 (100 yards en nage libre). » Qui l’eût cru, les bras m'en tombent.
À côté de cela, nous avons « Lia » William Thomas, de l'Université de Penis-sylvanie, homme transidentifié qui pulvérise maintenant tous les records des catégories de natation femmes. En dépit du scandale et du non-respect des droits des femmes à une compétition équitable, aux expositions indécentes de son pénis attaché à sa grosse carrure d'homme dans les vestiaires des fiiless et aux protestations des athlètes féminines, l’U-peen a persisté et signé en nominant Thomas pour le titre universitaire de « femme de l’année ».
William « Lia » Thomas. Source: https://www.insider.com/lia-thomas-teammates-oppose-trans-swimmer-on-womens-team-2022-3
Mais l’on n’échappe pas si facilement à sa sociabilisation. Si Thomas a été sociabilisé à l’entitrement masculin, Henig, quant à elle, a été sociabilisée à être sacrifiable, autrement dit, au rôle sociosexuel de bonne poire assigné aux femmes. Elle a dit au New York Times qu'elle « ne se soucie guère d'être compétiti[ve]. Bien sûr ma grande, l’important, c’est de participer n’est-ce pas ? C’est pour ça que les athlètes de compétition s’entraînent... Et non afin de pouvoir se professionnaliser ou de remporter les bourses d’études et des recommandations sur ton futur CV !
Pire, avec son nouveau statut, elle est plus encore confinée aux stéréotypes misogynes qui font appel au travail émotionnel gratuit des femmes :
« J'essaie plutôt d'établir de nouveaux liens avec mes coéquipiers, d'applaudir bruyamment et de me concentrer davantage sur l'excitation du sport ».
C’est bien. Elle est donc passée de nageuse de compétition à pom-pom girl pour les athlètes masculins. L’idéologie du genre est un retour de bâton patriarcal qui remet les femmes à leur place tout en introduisant des hommes pour les policer par la menace de viol dans leurs espaces.
Source : https://www.thecollegefix.com/female-to-male-transgender-swimmer-bottoms-out-in-competitions
84% d’augmentation de la délinquance sexuelle des « femmes »
Le nombre de « femmes pédophiles » au Royaume-Uni a augmenté de façon spectaculaire (+84%) après que la police ait commencé à enregistrer les crimes en fonction de « l'identité de genre. »
Au moins 16 forces de police régionales du Royaume-Uni enregistrent le « sexe » des suspects sur la base de leur identité de genre, ce qui ne permet pas de savoir si cette forte augmentation est due à une hausse du nombre soudain de femmes délinquantes sexuelles ou d’hommes s'identifiant comme des femmes.
Les chiffres gouvernementaux des pays dans lesquels l’auto-déclaration de l’identité de genre est implémentée montrent pourtant bien que les hommes transidentifiés manifestent les mêmes schémas comportementaux de délinquance et de criminalité sexuelles (entre autres) que les hommes non transidentifiés. Pire encore, la population carcérale des hommes transidentifiés est à plus de moitié constituée de délinquants et criminels sexuels.
L’idéologie du genre est un instrument patriarcal qui sert à policer les comportements des femmes en réintroduisant des hommes agresseurs dans leurs espaces.
Source : https://thepostmillennial.com/number-of-female-pedophiles-in-uk-increased-dramatically-when-police-started-recording-crimes-by-gender-identity