DANS LA GRANDE COMMUNAUTÉ TRANS/QUEER, VOICI LES ADULTES FÉTICHISTES DES COUCHES
Par Nicolas Casaux
Les Adult Baby Diaper Lovers (ABDL), littéralement « Adultes amoureux des couches pour bébés » — on parle aussi de « fétichisme des couches », de syndrome du bébé adulte, de trouble de l'identité de l'âge, d’infantilisme et d'autres choses encore — sont des adultes qui aiment se prendre pour des bébés, adopter des comportements de bébé, porter des vêtements de bébé (des couches, par exemple, mais des couches pour adultes), jouer avec des jouets pour bébés ou enfants, se coucher dans des berceaux géants, parler en charabia, sucer des tétines, être nourris à la cuillère, etc. Cette pratique correspond à un fétichisme sexuel (ces adultes ressentent une excitation/stimulation sexuelle à faire tout ça). Ce qui explique l’existence d’un marché de la pornographie consacré à l’ABDL.
Beaucoup de ces gens se considèrent ou présentent comme « trans » ou queer, et plusieurs s’investissent dans d’autres formes de fétichisme connexes (comme le « Furry Fandom »). Et il existe désormais des boutiques (en France, en ligne uniquement) qui vendent tous les accessoires nécessaires pour assouvir le fétichisme de ces adultes.
C’est franchement horrible — et c’est sans parler des conséquences de ce fétichisme pour les compagnes des hommes qui s’y adonnent — mais c’est à peu près le même principe qui fait que des hommes se disent désormais « femmes ». Une large partie des prétendus « femme trans » sont des hommes « autogynéphiles », c’est-à-dire des hommes qui ressentent une excitation ou une stimulation sexuelle, existentielle, à s’imaginer être des femmes, à prétendre être des femmes. Prétendre être ce qu’on n’est pas. Jouer un rôle. Le transgenrisme peut être considéré comme un vaste jeu de rôle que des fanatiques cherchent à imposer à toute la société en prétendant qu’il ne s’agit pas d’un jeu de rôle mais de transmutations réelles.
Le transgenrisme aussi constitue un secteur du marché de la pornographie. Le lien entre pornographie et transgenrisme est évident (et étudié par quelques personnes, comme Genevieve Gluck : https://www.feministcurrent.com/.../why-isnt-anyone.../), mais jamais discuté dans les médias, qui préfèrent mettre en avant des aspects plus propres du phénomène, mais qui n'en constituent que la partie émergée.