Un pédophile transgenre a dupé le personnel d’un refuge pour femmes vulnérables victimes de violences domestiques
S'identifiant comme une femme, il a dupé le personnel d’un centre d'accueil pour femmes vulnérables victimes de violences domestiques pendant 71 jours.
[Je suppose qu’il pourrait faire un TikTok à la Dylan Mulvaney, en mode : « Jour 24 de pédo dans un refuge pour mères et enfants, trololol, j’ai vu une petite poche de Barbie de 10 ans et demain j’y fourre mon zizi ».]
« Katie » Dolatowski, 22 ans, est entrée dans le refuge de Leeds Women's Aid sous un pseudonyme de victime.
Dolatowski a agressé sexuellement une fillette de dix ans dans les toilettes d'un supermarché en 2018.
Son passé a été révélé dix semaines après son arrivée et la police a été appelée.
Une maman réfugiée au centre d’accueil a déclaré que le fait de savoir qu'un agresseur sexuel d’enfants se trouvait dans le même endroit qu’elle lui donnait la chair de poule.
Par HANNAH MCDONALD POUR MAILONLINE
PUBLIÉ : 21:49 EDT, 4 novembre 2022 |Traduction Audrey A.
« Katie » Dolatowski, 22 ans, né de sexe masculin, est entré dans le refuge Leeds Women's Aid sous un faux nom. Son passé a été découvert dix semaines plus tard, en septembre, et les responsables auraient immédiatement contacté la police.
La Spice Girl « Mel B. », militante contre les violences [masculines] domestiques, rend fréquemment visite au refuge pour femmes et enfants vulnérables.
« Katie » Dolatowski, dont le délit remonte à 2018, a été placée en garde à vue, rapporte The Sun.
« Katie » Dolatowski, 22 ans, né de sexe masculin, s'est introduite dans le refuge Leeds Women's Aid sous un faux nom.
La Spice Girl « Mel B. », militante contre les violences [masculines] domestiques, rend fréquemment visite au centre d’accueil. (Photo : Mel B au Women's Aid 'Love Should Not Hurt' (L’amour ne devrait pas faire mal) NFT Art Launch, qui fait partie de la campagne Come Together to End Domestic Abuse (Unissons-nous pour arrêter les violences conjugales), au Blacks Club le 26 juillet 2022).
[Il] a agressé sexuellement une fillette de dix ans dans les toilettes d'un supermarché et en a filmé secrètement une autre en 2018. Il a été envoyé plusieurs fois au tribunal depuis. Une réfugiée et mère de trois enfants a déclaré qu'en tant que victime de violences sexuelles, la présence de cet homme déclenchait des psychotraumatismes (triggering). Elle a déclaré qu'elle était venue au refuge avec ses enfants, car elle pensait que c'était un endroit sûr, et que cela fut terrible pour elle de découvrir qu'un pédophile y vivait depuis des mois.
La mère a ajouté : « Je l'ai vue plusieurs fois traîner près de l'endroit où sont rangées les poussettes [il] est grand et maigre avec de longs cheveux bruns et [il] portait toujours un masque chirurgical bleu. Toute cette histoire me donne la chair de poule ».
Dolatowski disposait de documents officiels justifiant le nom d'emprunt qu'[il] utilisait pour convaincre le personnel qu'[il] était victime d'abus. [Et oui, on parle d’un Gender Recognition Act. Ce pédophile avait légalement changé de « sexe ».]
[Il] a séjourné dans un logement séparé du refuge et dédié aux survivants d’abus transgenres. Mais ces accommodations partagent un jardin commun aux logements pour les femmes et les enfants.
Le directeur général de Leeds Women's Aid, Nik Peaswood, a déclaré que le centre était consterné qu'une personne ayant commis les crimes dont Dolatowski s’est rendu coupable puisse avoir accès au refuge. [NdT : première remarque : pourquoi le directeur est un homme ; deuxième remarque : quelle langue de bois. Il ne veut pas nommer le crime sexuel masculin en question.]
Il continue : « Nous sommes conscients qu'un criminel en possession de documents d’identité légaux pourrait accéder aux services de n'importe quel refuge et nous ne sommes pas les seuls à être manipulés de cette façon ».
Une réfugiée, mère de trois enfants, a déclaré qu'en tant que victime de violences sexuelles, la situation était « déclenchante » de traumas. (Photo : Un magasin caritatif de Leeds Women's Aid à Horsforth.
Farah Nazeer, directrice générale de Women's Aid, a déclaré que la situation était une priorité au même titre que les services de lutte contre les violences sexuelles [masculines].
Elle a ajouté que des mesures de sécurité supplémentaires étaient envisagées à la suite de l'incident.
Dolatowski avait 18 ans lorsqu'[il] a menacé de poignarder la fillette de dix ans si elle refusait de quitter son pantalon dans un magasin Morrisons à Kircaldy, Fife, mais l'enfant lui a donné un coup de poing et s'est enfuie.
Un mois auparavant, Dolatowski avait secrètement filmé une fillette de 12 ans aux toilettes d'un Asda de Dunfermline.
Dolatowski a évité la prison.
[NdT : Eh bien, il est temps qu’il y aille et qu’il y reçoive du Lupron. À la base, le médicament donné aux enfants est un médicament destiné à la castration chimique des paraphiles pédophiles et des criminels sexuels. Aujourd’hui, le Lupron est prescrit aux enfants qui, selon leurs parents et éducateurs, ne se conforment pas aux stéréotypes sociosexuels. Le Lupron agit comme « bloqueur de puberté » sur le corps des enfants et empêche leur maturation psychologique et physiologique en bonne santé. Les bloqueurs de pubertés « retardent » littéralement le développement cérébral et l’altèrent de manière irréversible, contrairement aux mythes répandus par les nervis transactivistes. Il n’est pas possible de mettre la croissance humaine « sur pause » et de la rallumer comme s’il s’était agi d’une machine.]