Paris : Un homme paraphile quinquagénaire médaillé de bronze au championnat du monde para-athlétique en catégorie féminine
Quelques points de terminologie suivis de la traduction commentée de l'article du Telegraph
Rappels terminologiques :
L’auto-apotemnophilie est une paraphilie analogue à l’autogynéphilie qui touche les hommes hétérosexuels. L’autogynéphilie est une inversion de l’identité de la cible érotique, dans laquelle l’objet de l’attraction érotique (les femmes) est internalisé (soi-même en tant que femme), poussant ainsi l’homme à vouloir devenir ce qui l’attire sexuellement (une femme). Il ressent de l’excitation sexuelle à s’imaginer qu’il est une femme ainsi que de l’excitation sexuelle à transformer son corps vers son objet de désir. C’est en cela que l’autogynéphilie se distingue du fétichisme de travestissement : les travestis sexuels ne vont pas jusqu’à vouloir transformer leur corps par la chirurgie et les hormones et/ou prétendre qu’ils sont des femmes en dehors de leurs sessions de travestissement à des fins sexuelles. Il s’agit donc d’une question de degrés (un continuum) et pas tant de nature.
À cette paraphilie vient s’ajouter ici une anomalie d’identité de la cible érotique. L’apotemnophilie, l’auto-abasiophilie et toutes les paraphilies analogues impliquant de l’excitation sexuelle à l’idée d’être une femme handicapée — d’une manière ou d’une autre — sont des inversions de l’identité de la cible érotique erronée. L’acrotomophilie, mais aussi l’abasiophilie, sont des paraphilies dans laquelle l’attraction hétérosexuelle est déviée sur un type particulier de femme, le seul type pouvant exciter sexuellement celui qui en est atteint : les femmes en situation en handicap physique, notamment à mobilité réduite (abasio) ou amputées (acrotomo), parmi d’autres. Il s’agit ici d’une anomalie de l’identité de la cible érotique.
L’apotemno(gyno)philie désigne le fait d’être sexuellement excité à l’idée de devenir une femme handicapée/amputée. Dans le cas de l’homme excité à l’idée d’être une femme handicapée, celui-ci présente une anomalie de l’identité de la cible érotique (être attiré par les femmes handicapées) doublée d’une inversion de l’identité (erronée) de la cible érotique (vouloir devenir une femme handicapée, prétendre être une femme handicapée).
Gardant ceci à l’esprit je mets au défi quiconque de soutenir que ces personnes « naissent dans le mauvais corps », lorsque « depuis tout petit déjà, devant les posters d’Amnesty International, en voyant les petites filles atteintes de polio… » est le récit analogue de l’autogynéphilie que ces hommes rationnalisent à l’âge adulte pour légitimer leur paraphilie. Ils tentent, dans un déni sincère ou non, de décorréler l’aspect sexuel de leur désir de « transitionner » en femme handicapée physique. Je précise que ceci est la paraphrase d’un vrai témoignage d’homme autogynéphile et auto-basiophile issu de Men’s trapped in men’s bodies, p.158, Springer.
La totalité des hommes non homosexuels et pseudo-bisexuels qui se disent femmes sont des autogynéphiles, des hommes hétérosexuels paraphiles pour lesquels apparaître « comme une femme » en public revêt un intérêt sexuel, même après leur transition. Et si certains déclarent une baisse de leur libido et de leurs activités masturbatoires (impliquant la pensée d’eux-mêmes devenant une femme ou étant sexuellement [mal]traité « comme une femme ») avec la prise d’œstrogènes et d’anti-androgènes, parmi ceux-là, d’autres abandonneront progressivement les anti-androgènes et calibreront leur prise d’œstrogène de manière à retrouver une libibo. Leur paraphilie, cette orientation sexuelle atypique et très forte, bien plus forte que la castration chimique et chirurgicale, les y pousse, tout comme elle les pousse à transformer leur corps. Ces hommes sont malades et ont besoin d’aide, et non pas d’envahir les espaces et les sports des femmes, et de détruire nos droits sexo-spécifiques pour satisfaire leurs illusions paraphiles.
Au plus vite les décideuses politiques comprendront la condition psychosexuelle réelle de ces hommes, au plus vite la force motrice du mouvement trans apparaîtra pour ce qu’elle est, une tartufferie d’hommes champions de l’auto-déception sexuelle.
Ci-dessous la traduction de l’article du Télégraph concernant la victoire illégitime de l’un de ces hommes.
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Par Oliver Brown, rédacteur en chef des sports, le 14 juillet 2023
Valentina Petrillo, un homme de 49 ans, a remporté la médaille de bronze du 400 mètres féminin aux Championnats du monde d'athlétisme paralympique à Paris. L'Italien, âgé de 18 ans de plus que toutes les autres compétitrices a empêché la Marocaine Fatima Ezzahra El-Idrissi de monter sur le podium dans la finale T12 réservée aux athlètes malvoyantes.
La médaille de Petrillo, la première obtenue par un athlète « transgenre » sur la scène mondiale de l'athlétisme, a suscité de vives critiques, Peter Eriksen, l'ancien entraîneur en chef du Canada aux Jeux olympiques, a qualifié le résultat de « choquant ». Mara Yamauchi, la troisième marathonienne britannique la plus rapide de l'histoire, a soulevé la question en ces termes : « Combien de personnes de 49 ans gagneraient des médailles au niveau mondial ? » [si ce n’était un homme prétendant être une femme handicapée et concourant au milieu de femmes handicapées.]
El-Edrissi, l'athlète battue en quatrième position, est âgée de 27 ans, tandis que la Cubaine Omara Durand et la Vénézuélienne Alejandra Perez Lopez, médaillées d'or et d'argent, sont âgées de 31 et 25 ans.
« Je n'ai pas l'impression de voler la médaille » dit Petrillo.
[Traduction : « Je ne m’identifie pas comme un escroc ».]
La participation de Petrillo aux compétitions internationales est depuis longtemps un sujet de consternation. Alors qu'il ne commençait à suivre un traitement hormonal qu'en 2019, à l'âge de 45 ans, Petrillo s'est engagé dans les 100, 200 et 400 mètres pour femmes aux championnats paralympiques italiens de l'année suivante et a immédiatement remporté les trois courses. « Mieux vaut être une femme lente et heureuse qu'un homme rapide et malheureux », a déclaré l'athlète à la BBC. [BEN VOYONS]. « Je n'ai pas l'impression de voler quoi que ce soit à qui que ce soit. »
Alors que Petrillo, originaire de Naples, espérait que ces victoires lui vaudraient une place aux Jeux paralympiques de Tokyo en 2021, l'Association italienne des sports pour handicapés a refusé de lui accorder une nomination. L'instance dirigeante n’a pas voulu expliquer publiquement ses raisons [le bon sens ?], mais elle a subi de fortes pressions en coulisses de la part des concurrentes de Petrillo, dont plusieurs ont fait part de leurs inquiétudes concernant l'équité et le fair-play. [Oui, c’est la faute des femmes qui osent demander justice. Quelles enquiquineuse ces femmes !]
L’Association italienne des sports pour handicapés a refusé à Valentina Petrillo une place aux Jeux paralympiques de Tokyo en 2021 CREDIT : Getty Images/Matthias Hangst
Lorsque Petrillo a remporté le titre de « championne » du 200 m en salle à Ancône en mars, avec un temps qui l’aurait classé seulement 14e en catégorie masculine [à sa juste place], Cristina Sanulli, qui a terminé deuxième, a déclaré : « Ce n’est pas équitable parce que la structure physique de Petrillo est masculine. Nous ne sommes donc pas sur un pied d'égalité. Bien que le parcours personnel de Valentina soit respectable [il n’y a rien de respectable chez un tricheur. C’est un homme méprisable], il ne mérite pas le respect d'un point de vue athlétique, et c'est pour cette raison que nous nous sentons très discriminées. »
« Au même niveau qu'Hitler »
Les directives de la World Para Athletics sur la participation stipulent qu'une « athlète peut participer à des compétitions féminines si elle est reconnue comme femme par la loi » [laquelle sert ici les intérêts des hommes]. Mais le manuel de politique de l'organisation précise qu'elle « traitera tous les cas impliquant des athlètes transgenres [des hommes paraphiles qui prétendent être des femmes] conformément aux lignes directrices du Comité international olympique ». La position du CIO sur les controverses transgenres est si peu engageante qu'elle a renvoyé toute prise de décision aux sports individuels [« lancer la patate chaude »], la World Athletics ayant annoncé en mars que les courses en catégorie féminine devraient être réservées aux athlètes nées de sexe féminin.
Cette décision stricte [juste, rationnelle, basée sur la réalité] n'a pas encore été appliquée aux épreuves para-athlétiques, en témoigne la médaille de bronze de Petrillo. En début d'année, les organisateurs des championnats des World masters d'athlétisme en salle ont émis un avertissement concernant d'éventuelles manifestations contre Petrillo, qui allait concourir dans la catégorie des femmes de plus de 45 ans.
Lorsque Petrillo, qui n'a pas subi d'opération de « changement » de sexe, s'est vu refuser l'accès aux vestiaires féminins à Ancône, l'athlète s'est emporté contre ses détracteurs, les qualifiant « d’être au même niveau qu'Hitler ». [Démonstration de rage narcissique autogynéphile.]
« Ce n’est pas pour gagner [en catégorie femme] que j’ai entamé une thérapie hormonale, je l'ai fait pour moi », a déclaré Petrillo, qui est marié à une femme et a eu deux enfants avec elle.
[Glorieux. Petrillo n’est très probablement pas auto-abasiophile ni quoi que ce soit d’autre qu’un travesti sexuel. Et il n’est très certainement qu’un escroc invétéré.]