Un autogynéphile fétichiste BDSM à la tête d'une organisation pour les droits des femmes
Traduction commentée : le noyautage autogynéphile des mouvements pour les droits des femmes et des LGBT
NdT : L’autogynéphilie et le noyautage des organisations pour les droits des femmes et les droits LGBT par des hommes paraphiles fétichistes.
Ces hommes ne sont pas des personnes souffrant de dysphorie et sont pourtant parvenus à faire voter les lois qui leur donnent accès aux espaces et aux services réservés aux femmes au seul bénéfice de leur obsession sexuelle et au détriment des femmes et des enfants.
Dans l’article suivant, traduit et commenté, l’ascension d’un homme paraphile au conseil d’administration de la NOW (division Caroline du Nord), la National organisation of women, qui était jadis un bastion du féminisme étatsunien de la seconde vague. Au sein de la NOW, cet homme lutte maintenant contre un projet de loi visant à protéger les enfants en réaffirmant le droit des parents à être informés du contenu idéologique lié à l’identité de genre enseigné à l’école, et à être informé lorsque leurs enfants déclarent vouloir « changer de genre ». Cet homme lutte donc contre l'autorité parentale dans le but d'enrôler plus facilement des enfants sur le parcours de médicalisation trans aujourd'hui de plus en plus reconnu comme un scandale sanitaire et éthique.
L’organisation noyautée se mobilise maintenant contre un projet de loi sur l’autorité parentale
Article original paru sur Reduxx, par Yuliah Alma 18 février 2023
Les militantes des droits des femmes s’inquiètent de la présence d’un homme transidentifié de 59 ans à la tête de la National Organization for Women (NOW, « organisation nationale des femmes »), une organisation américaine. James Gallmeier, l’homme en question, est également connu sous le nom de Jenny-Jaymes Gunn, et s’est un jour amusé à décrire le viol comme une « introduction à la condition féminine ».
[Cet homme est manifestement un autogynéphile hardcore s’étant adonné à la sissification et à la « féminisation forcée ».]
L’Organisation nationale des femmes (NOW) se présente comme une « organisation intersectionnelle, multi-questions et multi-stratégies qui adopte une approche holistique des droits des femmes ».
[Dans la novlangue queer, « intersectionnelle » ne signifie plus « intersection des oppressions », mais « l’inclusivité des oppresseurs dans les groupes qu’ils oppriment ». Ainsi, l’intersectionnalité prône la présence de violeurs dans les groupes de discussion de femmes violées, la présence de patrons dans les discussions syndicalistes d’ouvriers, la présence d’esclavagistes dans les discussions d’esclaves préparant leur révolte, la présence de néo-nazis dans les synagogues, et la présence de proxénètes dans les cercles de paroles des survivantes de la prostitution.]
Une partie de son objectif supposé est de lutter contre « la discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre dans tous les domaines, y compris l’emploi, le logement, les services de santé et la garde des enfants », et l’une de ses six « questions » principales de l’organisation sont « les droits LGBTQ+ ».
[L’idéologie de l’identité de genre est homophobe et sexiste par définition puisqu’elle se fonde sur les stéréotypes misogynes et fait médicalement transitionner les jeunes enfants que les adultes jugent « non conformes » aux stéréotypes socio-sexuels traditionnels de leur culture – enfants qui pour la plupart deviendraient des homosexuels en bonne santé s’ils n’étaient pas médicalisé. La notion d’identité de genre en soi invalide la réalité du sexe et la réalité de l’oppression sexuelle des hommes sur les femmes, ainsi que l’orientation sexuelle homosexuelle, devenue « transphobe » selon cette idéologie. Les organisations prétendument féministes ou homosexuelles qui promeuvent l’idéologie du genre sont en réalité noyautées par le transactivisme et ne visent qu’à un seul objectif, l’établissement des droits sexuels d’hommes fétichistes en tant que droits humains, et pour ce faire, la destruction des droits des femmes et la criminalisation de l’homosexualité qu’elle requalifie comme une « préférence génitale transphobe » sont une étape nécessaire.]
Gallmeier, qui s’identifie comme « une demi-fille transgenre pansexuelle », est membre du conseil d’administration de la division Caroline du Nord de la NOW depuis 2019. Le groupe fait actuellement pression contre un projet de loi visant à tenir les parents informés de ce que les écoles enseignent à leurs enfants.
[Et vous savez maintenant pourquoi le transactivisme tente d’affaiblir l’autorité parentale : pour faciliter le grooming des enfants et l’accès aux enfants].
Gallmeier, coordinateur de la sensibilisation aux questions LGBTQ+ de la NOW, est également connu sous le nom de Jenny-Jaymes Gunn.
Gallmeier a de nombreuse publications à son actif au sujet de son fétiche BDSM et de la « sissification » sur diverses plateformes de réseaux sociaux, tout en faisant pression contre un important projet de loi sur la protection des enfants dans l’État de Caroline du Nord.

Le projet de loi 49 de l’État, également appelé « Déclaration des droits des parents », a été adopté par le Sénat début février malgré l’opposition des transactivistes, et devrait être approuvé par les membres de la Chambre des représentants. Le projet de loi exige que les écoles informent les parents si leurs enfants cherchent à « changer de sexe » et donne aux parents un accès plus direct au programme scolaire.
Pourtant, Gallmeier et d’autres « activistes » ont encouragé le gouverneur Roy Cooper à placer son veto contre le projet de loi sur l’autorité parentale, rapporte The Distance.
En raison de son récent activisme acharné contre les droits des parents en ce qui concerne l’éducation de leurs enfants, Gallmeier et sa longue histoire de fétichisme ont fait l’objet d’un examen minutieux de la part des défenseuses des droits des femmes et des militant·es de la protection des enfants.
Sloan Rachmuth, militante pour l’éducation et journaliste d’investigation dans l’État, a attiré l’attention sur la position publique de Gallmeier auprès de la NOW, et a récemment pris la parole sur les réseaux sociaux pour attirer l’attention de la population locale sur les activités en ligne de Gallmeier.
« Hey les gens de Caroline du Nord, ça vous dit que les élèves de la maternelle à la terminale reçoivent leur éducation sexuelle par la famseuse “Jenny-Jaymes Gunn” de Charlotte [Charlotte est le nom de la ville], alias James Gallmeier, de l’Organisation nationale pour les femmes ? » Tweet de Rachmuth le 11 février.





Elle a accompagné sa question de captures d’écran de certains des comptes de réseaux sociaux de Gallmeier, y compris une capture d’écran de son TikTok où il pose en lingerie fétichiste, et des tweets de lui se vantant de sodomie et de gang bangs.
L’Instagram de Gallmeier présente un contenu tout aussi craignos.
https://www.instagram.com/gunngirlunicorn/
Il y a rassemblé des séquences de photos et de vidéos pornographiques, notamment une séquence intitulée « Latex Art », qui présente des photos de lui-même et de mannequins fétichistes en tenue de latex.
Sur une photo que Gallmeier a postée sur son Instagram, on voit une femme à un stade avancé de sa grossesse poser en tenue fétichiste.
Un post sur le compte Insta de Gallmeier.
Gallmeier publie fréquemment des images de lui-même en tenue fétichiste sur Facebook et a partagé plusieurs images de lui-même vêtu de latex en public.
Outre ses comptes quelque peu inquiétants sur les réseaux sociaux, Gallmeier a un passif de comportements explicitement abusifs envers au moins une de ses ex-femmes, qui a obtenu une ordonnance restrictive contre lui en 2004 alors qu’ils vivaient encore au Texas. Au moment où l’ordonnance a été émise, Gallmeier s’était déjà remarié à une autre femme.
La seconde épouse de Gallmeier est tombée gravement malade en 2012 et a été admise à l’hôpital à plusieurs reprises alors que le couple luttait contre des difficultés financières. Mais en 2015, Gallmeier était actif dans les communautés fétichistes en ligne, se présentant comme un travesti et une « chochotte » (sissy).
Le couple a officiellement divorcé en 2016, et Gallmeier a publiquement rejeté la responsabilité de leur séparation sur sa femme, affirmant qu’elle ne lui avait pas accordé l’espace nécessaire dans leur couple pour qu’il puisse « se transformer » en femme.
[Relation abusive classique de la part des hommes narcissiques autogynéphiles sur leurs compagnes. La « maladie » de sa femme est probablement liée aux abus quotidiens de cet homme. De nombreux témoignages de « veuves trans » (transwidows) ont été recueillis, notamment par Sheila Jeffrey dans son livre Gender Hurts (« Le genre blesse ») ainsi que par la réalisatrice indienne Vaishnavi Sundar : ]
Il aurait trompé sa femme avec des hommes juste avant leur séparation.
[Il s’agit de « pseudo-bisexualité » causée par l’autogynéphilie : en effet l’homme autogynéphile fera feu de tout bois, c’est-à-dire que quiconque valide son fétiche en le considérant comme une femme participe à son excitation sexuelle et constitue donc pour lui un partenaire contribuant à son plaisir sexuel.]
Lors d’une interview donnée sur YouTube, Gallmeier a affirmé qu’en 2015, un an avant que sa femme ne demande le divorce, qu’il aurait été « victime d’un crime haineux parce qu’il était trans. »
Gallmeier dans une interview de 2012 avec TSAOzarkArea.
Il a déclaré à un intervieweur : « Je venais juste de commencer à faire mon coming out, socialement, auprès de quelques personnes choisies, même si la partie [apparence] physique était encore assez lointaine et assez inconcevable. »
Il décrit avoir été agressé par plusieurs hommes après leur avoir avoué que sa deuxième femme et lui avaient rompu pour qu’il puisse « faire sa transition ». Un homme l’a invité à une fête après que Gallmeier lui ait montré des photos de lui sur son téléphone « en tant que femme ».
C’est à cette fête que Gallmeier décrit avoir été agressé physiquement et sexuellement par plusieurs hommes. Il dit de son expérience de l’agression physique et sexuelle : « C’était mon introduction à la féminité. C’était mon introduction à la dangerosité du monde ».
[Cet homme est un autogynéphile : l’agression et le viol simulés font partie de son fétichisme sexuel. Il est à parier que les hommes qui l’ont prétendument agressé étaient ses partenaires de rôle play sexuel dans le cadre de sa paraphilie et de ses pratiques de « sissification ». Le simple fait d’en faire ici le récit, loin de susciter un quelconque psycho-traumatisme, participe au contraire à son excitation sexuelle. C’est ce que sont ces hommes paraphiles. C’est la raison pour laquelle ils détruisent les droits des femmes et des enfants, pour valider leur fétiche et pouvoir « rôle-play » au grand jour. Les autogynéphiles haïssent que les gens ne jouent pas le jeu avec eux et leur disent qu’ils ne sont pas vraiment des femmes, qu’ils ne font que jouer un rôle. Cela met leur excitation sexuelle en berne et cause chez eux ce qu’Anne Lawrence, lui-même AGP et auteur de Men trapped in men’s bodies (« Des hommes coincés dans des corps d’hommes »), décrit cliniquement comme des élans de rage narcissique. Toute féministe ayant « échangé » sur twitter avec des AGPs et essuyé la virulence de leur fureur et leur pluie d’insultes sait parfaitement de quoi parle Lawrence.]
C’est à cette même époque que Gallmeier est devenu actif sur FetLife [un Facebook pour hommes fétichistes pornsicks et femmes polytraumatisées], un forum et une communauté fétichiste en ligne notoire. Il a rejoint un groupe appelé « Enriching the Bonds of Enlightenment » [« Enrichir les liens de l’illumination », un choix de nom manifeste de la mégalomanie narcissique de ces hommes], un groupe de « sissification » pour les hommes qui sont excités par la participation à des actes de soumission et d’humiliation sexuelles [qu’ils associent à la condition féminine].
La pornographie de sissification intègre souvent le concept d’un homme contraint de porter des vêtements considérés comme des vêtements de femmes ou de filles [tels que des uniformes scolaires]. Dans certains cas, les abus sexuels « forcés » sont présentés comme un rite de passage vers la « féminité ».
[Voir l’essai de Geneviève Gluck « pourquoi personne ne parle du rôle du porno dans l’essor du mouvement trans » sur les hommes transidentifiés et la sissification traduit sur Le Partage.]
Le profil de Gallmeier sur FetLife.
Sur FetLife, Gallmeier utilisait le nom « Jessye-Jaymes » et les captures d’écran de son activité sur la plateforme montrent qu’il interagissait fréquemment avec des photos pornographiques de parties génitales d’hommes engoncées dans des sous-vêtements de femmes ou des dispositifs de chasteté, d’un homme transidentifié léchant des toilettes et diverses photos de femmes en tenue fétichiste.
Gallmeier publiait régulièrement des messages sur son activité sexuelle dans le groupe « Enriching the Bonds of Enlightenment », notamment en suivant les directives sexuelles que lui donnait le chef du groupe, « Madame Mary Josephine », un homme travesti [fétichisme de travestissement et autogynéphilie sont très proches, les deux paraphilies se recoupent]. Gallmeier rendait publiquement compte à « Joséphine » du nombre d’hommes avec lesquels il avait des relations sexuelles.
En septembre 2018, peu après avoir lancé un compte Facebook avec sa nouvelle identité « féminine », Gallmeier a quitté le Texas pour emménager à Charlotte, en Caroline du Nord. Il a commencé à apparaître dans les ressources de NOW l’année suivante.
Gallmeier a depuis été actif dans de nombreuses organisations de justice sociale dans la région de Charlotte, en Caroline du Nord, notamment en ayant été le coordinateur de la Charlotte Trans Pride avec Charlotte Pride. Il coanime également une émission intitulée Coffee and Pan Dulce, où lui et l’ex-député Christian Cano parlent de leurs politiques « progressistes ».
Au printemps 2020, la Charlotte Pride a présenté « Jenny-Jaymes Gunn » lors de sa « Digital Trans Day of Visibility » (« journée digitale de visibilité trans »), où il a répondu à la question « Que signifie la visibilité trans pour vous ? ».
[Rappel, cet homme et ses semblables ne sont pas des « personnes transgenres » souffrant d’une dysphorie de genre incapacitante, ce sont simplement des hommes paraphiles, comme les pédophiles et les apotemnophiles, lesquels, contrairement à ces derniers, ont réussi à faire passer des lois qui ont abrogé les droits des femmes en tant que classe sexuelle, en investissant le mouvement pour les droits des trans au seul bénéfice de leur satisfaction sexuelle fétichiste. Et ce, afin de pouvoir bander sans restriction dans l’espace public. Le bonus étant que quiconque se risque de casser leur trip fétichiste en ne les traitant pas « comme des femmes » est maintenant passible de crime de haine.]
Gallmeier a répondu que pour lui, la « visibilité trans » signifiait « être constamment là dehors [dans l’espace public] et être très fier de mon côté fashion plus audacieux », avant de se vanter de la façon dont le fait d’être « ouvertement queer et de faire partie de la communauté BDSM tout en étant un activiste politique a fait tomber toutes les barrières de la peur et de l’ignorance ». [Il a fait tomber toutes les barrières de protection légales des femmes et des enfants et peut maintenant accéder aux femmes, aux filles et aux enfants sans restriction.]
En 2021, Gallmeier a également été invité par la Wedgewood Community Church « à faire un sermon d’une demi-heure sur les redondances du genre » lors de la fête des Mères.
« L’une de mes approches consiste à montrer que nombre d’étiquettes ou termes affectueux, comme “mère”, construisent des murs au lieu de ponts », a déclaré Gallmeier pendant son sermon. Il a poursuivi en comparant le mot « mère » à des formes de racisme et a ajouté que ce mot « ne sert à rien au XXIe siècle ».
[Un homme autogynéphile, extrêmement misogyne et criblé d’une envie d’utérus qui le pousse à vouloir effacer tout ce qui se rapporte aux femmes et aux mères, à leur capacité à créer la vie. Cet homme hait les femmes et les envie jusqu’à vouloir les détruire. Cet homme est un dangereux psychopathe.]
Gallmeier a également été honoré pour plusieurs prix et subventions depuis son déménagement à Charlotte. En 2022, les LGBTQ Democrats of Mecklenburg County (« les démocrates LGBTQ du comté de Mecklenburg ») lui ont décerné le « Progress Award » (« La médaille du progrès »).
Il a également été nommé membre du comité des relations communautaires par Vi Lyles, la maire de Charlotte. Pour être prétendument « trans », la Chambre de commerce LGBTQ+ de Caroline du Nord lui a accordé un mentorat, ainsi qu’une bourse d’études et une subvention d’entreprise d’un montant non divulgué.