Edit : M.J. Bailey a publié hier son étude présentant les résultats de sa recherche entreprise en 2020 sur le sujet. Il s’agit bien de cela. Sauf qu’il n’emploie plus le concept d’erreur de cible érotique, mais parle de cibles érotiques externes, peu importe leur nature (un autre être humain mature, une partie de corps, un enfant, un chien, un objet…) et de cibles érotiques internes (le fait de devoir s’imaginer être l’objet de leur attraction sexuelle pour atteindre l’orgasme). Continuer à parler « d’erreur » pouvait probablement entraîner des accusations de stigmatisation de la part des paraphiles, contrevenant à sa recherche. Pour ma part, je considère que les orientations sexuelles saines des adultes constituent l’attraction vers d’autres personnes humaines et matures, peu importe leur sexe. Tout ce qui s’en écarte relève du fétichisme / de la paraphilie, que cette paraphilie soit légale, comme l’autogynéphilie, ou problématique, comme l’auto-pédophilie, les ADBL et les furries (ces deux dernières constituant à la fois des erreurs et des inversion de la cible érotique, supposant une attraction sexuelle envers les êtres ou objets qu’ils souhaitent devenir) ou encore criminelle, comme la pédocriminalité et la zoophilie(zoocriminalité), qui sont des erreurs de cible érotique. Lawrence dit clairement qu’il s’agit de pathologies mentales. Et l’une des premières raisons données est que ces paraphilies rendent impossible toute connexion sexuelle intime avec une autre personne. De nombreux témoignages en font état.
Merci de cette adaptation du texte de Lawrence. Je suis par contre sceptique face aux discours qui présentent a priori les pervers masculins comme "malheureux"... Ne peut-on pas reconnaître leurs propos comme intéressés? J'ai tendance à reconnaître chez eux une tentative d'ajouter aux privilèges masculins de définir le monde et les autres en fonction de leurs quatre volontés.
Après être allée bien plus loin dans le livre (j'en suis au trois quart) et avoir ainsi lu tout un tas de témoignages et confessions classées selon les aspects propres à cette paraphilie, je réponds oui et #NoHimpathy.
Edit : M.J. Bailey a publié hier son étude présentant les résultats de sa recherche entreprise en 2020 sur le sujet. Il s’agit bien de cela. Sauf qu’il n’emploie plus le concept d’erreur de cible érotique, mais parle de cibles érotiques externes, peu importe leur nature (un autre être humain mature, une partie de corps, un enfant, un chien, un objet…) et de cibles érotiques internes (le fait de devoir s’imaginer être l’objet de leur attraction sexuelle pour atteindre l’orgasme). Continuer à parler « d’erreur » pouvait probablement entraîner des accusations de stigmatisation de la part des paraphiles, contrevenant à sa recherche. Pour ma part, je considère que les orientations sexuelles saines des adultes constituent l’attraction vers d’autres personnes humaines et matures, peu importe leur sexe. Tout ce qui s’en écarte relève du fétichisme / de la paraphilie, que cette paraphilie soit légale, comme l’autogynéphilie, ou problématique, comme l’auto-pédophilie, les ADBL et les furries (ces deux dernières constituant à la fois des erreurs et des inversion de la cible érotique, supposant une attraction sexuelle envers les êtres ou objets qu’ils souhaitent devenir) ou encore criminelle, comme la pédocriminalité et la zoophilie(zoocriminalité), qui sont des erreurs de cible érotique. Lawrence dit clairement qu’il s’agit de pathologies mentales. Et l’une des premières raisons données est que ces paraphilies rendent impossible toute connexion sexuelle intime avec une autre personne. De nombreux témoignages en font état.
Merci de cette adaptation du texte de Lawrence. Je suis par contre sceptique face aux discours qui présentent a priori les pervers masculins comme "malheureux"... Ne peut-on pas reconnaître leurs propos comme intéressés? J'ai tendance à reconnaître chez eux une tentative d'ajouter aux privilèges masculins de définir le monde et les autres en fonction de leurs quatre volontés.
Après être allée bien plus loin dans le livre (j'en suis au trois quart) et avoir ainsi lu tout un tas de témoignages et confessions classées selon les aspects propres à cette paraphilie, je réponds oui et #NoHimpathy.