Les imitateurs sexuels sont des imitateurs (Partie 2), par Amy Sousa
Dissiper la falsification des signaux mimétiques : perceptions contre rationalisations, et autres outils.
Traduction de :
L'imitation n'est pas le modèle
Dans la première partie de cet essai, nous avons vu comment le mot « trans » interrompt les perceptions sensorielles immédiates par un phénomène de dissonance cognitive. L'homme qui se dit « trans » ne fait que performer une action de mimétisme sexuel. Le mot « trans » est un filtre qui a été conçu pour conditionner les gens à interpréter le comportement de mimétisme sexuel de l’imitateur comme étant la perception du modèle. Sans ce prisme d'interprétation, le comportement serait directement perçu pour ce qu'il est réellement, c'est-à-dire, pour le fait qu'un homme en robe n’est rien d’autre qu’un homme en robe, et non pas une « femme trans ». La tendance culturelle « trans » opère comme un magicien qui agite sa baguette et prononce « abracadabra » en direction de la foule. Elle fonctionne en supplantant l’autorité des perceptions directes de la réalité dans l’esprit des gens et agit comme un travestissement conceptuel, qui cache et transforme la réalité de ce qui est vraiment là. Le mot « trans » est une tentative de transformer par magie l'homme en robe en une « femme trans ».
Les recherches disponibles sur le mimétisme sexuel chez les animaux et les plantes permettent de percevoir le mimétisme sexuel humain dans la réalité matérielle. Même lorsqu'ils sont confrontés à la tromperie, les animaux réagissent instinctivement à leur environnement par des perceptions sensorielles directes, tandis que l'ingénierie sociale d’aujourd’hui programme les humain·es pour qu'elles et ils nient leurs instincts et réagissent aux imitations sexuelles humaines par une analyse mentale de symboles culturels. Pour de nombreuses raisons, mais surtout pour des raisons d’autoprotection, il est essentiel que nous restions ancrées dans nos perceptions primaires, c'est-à-dire dans ce que nos yeux, nos oreilles et nos sens nous transmettent instantanément de la réalité. Lorsque la dissonance cognitive interrompt nos perceptions immédiates, elle nous dissocie de nos réactions instinctives et nous prive d'un temps de réponse précieux, entravé par des jugements mentaux.
Un homme qui pratique le mimétisme sexuel et appelle ce comportement une « identité trans » fabrique un faux récit sur lui-même, basé uniquement sur son auto-déclaration, et demande au reste du monde de suivre son récit : « Je suis ce que je dis que je suis ». La coercition politique et sociale s'exerce également sur les destinataires de ce faux récit, nous obligeant à choisir entre suivre la conception de soi d'un étranger ou nous en tenir à l'autorité de nos propres perceptions sensorielles de la réalité. Il s'agit d'une dichotomie entre la pensée et la perception, où la pensée que l'on nous force à avoir à propos de cet homme est en contradiction avec la réalité directement perçue par nos yeux et nos oreilles.
Signaux et récepteurs de signaux
Le gecko satanique se déguise en feuille morte pour attirer ses proies et se cacher de ses prédateurs.
Bien que nous percevions que l'imitateur n'est pas le modèle, nous reconnaissons les signaux externes que l'imitateur utilise pour communiquer sa tentative d'être lu comme le modèle. Les hommes qui pratiquent le mimétisme sexuel peuvent employer des signaux tels que le port de vêtements traditionnellement réservés aux femmes, le maquillage féminin, le port de soutien-gorge rembourré ou de corsets, et dans les cas extrêmes, la prise d'hormones et le recours à des opérations de chirurgie plastique radicales pour modifier l'apparence de leur corps. Dans le domaine du mimétisme végétal et animal, nous savons que « les signaux ne se développent que lorsqu'un récepteur potentiel est capable de les percevoir ». En d'autres termes, le développement d'un signal ne se produit que lorsqu'il existe une association entre l'émetteur et le récepteur du signal[1] ». Le déguisement de feuilles mortes du gecko satanique est un signal mimétique efficace, car les prédateurs et les proies reconnaissent les feuilles mortes. Les mimétismes humains reposent également sur l'utilisation de signaux familiers. Les signaux utilisés par les hommes pour imiter les femmes sont déjà imprégnés d'un raccourci symbolique significatif interprété comme communiquant des traits féminins. Le signal s'appuie sur les associations antérieures qu’a fait le récepteur du signal entre les objets symboliques et les actions.
La nature même de la longévité du symbole historique lui confère crédibilité et autorité. Au fil du temps, la reproduction successive du symbole construit un récit quasi omniprésent et donc, inévitable, irréversible et surtout invisible.
Tout objet fabriqué par un être humain qui est ensuite employé comme un signal est en soi neutre, en termes de valeur. Les métaux, les tissus et les pigments sont des matériaux trouvés par les humain·es, qu’elles et ils utilisent et façonnent pour orner et signifier. Toutes les cultures ont utilisé ou utilisent des ornements, et ce sont ces cultures spécifiques qui confèrent une signification à des objets neutres. Le maquillage, par exemple, est essentiellement de la peinture pour le visage, un pigment à utiliser sur le corps. Le pigment en lui-même est sans valeur [culturelle]. Ce n'est que lorsque ce pigment est appliqué d'une manière qui est socialement considérée comme « appropriée pour les femmes » qu'il prend une désignation spécifique. Le maquillage tel qu'il a été utilisé dans les traditions occidentales et orientales dominantes s'est vu attribuer une valeur hyperféminine unilatérale, au point que « lire » du maquillage sur n'importe quelle personne, homme ou femme, revient à y voir une désignation de féminité. Notre endoctrinement à lire les symboles culturels commence dès la naissance. Il est également générationnel et historique. La nature même de la longévité du symbole historique lui confère crédibilité et autorité. [Et en ce qui concerne le maquillage rouge et les femmes, il est possible de remonter jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’années, jusqu’aux hominines.] Au fil du temps, la reproduction successive du symbole construit un récit quasi omniprésent et donc, inévitable, irréversible et surtout invisible. L'histoire du maquillage féminin dans l'art et la publicité est si efficace qu'il est devenu symboliquement synonyme de femme.
Le maquillage n'est pas seulement vendu comme étant glamour, il est utilisé pour donner du glamour, pour mystifier et évoquer l'image de la féminité, quel que soit le sexe de la personne qui le porte.
En portant du maquillage et d'autres objets symboliquement chargés, l'imitateur sexuel humain tente de formater consciemment les perceptions de celles et ceux qui l'entourent. Il tente de présenter une image de lui-même qui évoque la féminité chez celles et ceux qui ont déjà été endoctrinés dans la lecture de la symbologie culturelle. Même s’il ne peut jamais devenir une femme, il s'appuie sur des signaux qui visent les postulats appris des récepteurs de signaux. Il espère que vous lirez sur lui le raccourci de la féminité et que vous la lui attribuerez, tout en occultant la réalité sous-jacente. Bien que les femmes elles-mêmes utilisent de nombreux objets symboliquement imprégnés de féminité, elles n'ont pas besoin d'utiliser ces objets pour être perçues comme des femmes.
[Nous pouvons imaginer qu’un groupe d’hommes au cerveau imbibé de porno auraient du mal à reconnaître une femme de 50-60 ans qui ne performe pas la féminité – qui ne s’épile pas les sourcils, n’a appliqué aucun maquillage et s’habille en jean large et hoodie, par exemple – et qu’ils prendraient en revanche facilement un travesti au corps rendu difforme par les implants et le gonflement des lèvres pour une femme. C’est ce genre d’homme qui ensuite, hurlent à l’esclandre, lorsqu’ils apprennent que la poupée pornifiée vivante qu’ils ont cru « baiser » est en fait un homme.]
Il y a un truc fantastique pour féminiser votre visage, c’est de jouer avec les ombres. Vous pouvez créer n’importe quel look avec la bonne technique de contourage, et ainsi transformer l’apparence de vos traits. La palette « Scult et Soften » de Jecca Blac (« sculpter et adoucir ») contient un guide de 34 pages détaillant de nombreuses techniques pour appliquer ce produit de manière à obtenir un look sur mesure pour vos traits.
Lorsqu'elle est efficace, « l'imitation sert à tromper le récepteur du signal ». La tromperie est l'objectif, et l'imitateur humain tente de tromper à la fois au niveau de la cognition et de la perception. Au niveau cognitif, l'emploi du déguisement linguistique « transgenre » vous indique que cette personne est « autre » que le sexe que vous percevez. Au niveau de la perception, des artifices symboliques sont utilisés pour signaler le statut « trans » de la personne, par exemple le maquillage, les perruques, les faux seins, les robes, etc. En général, ni les animaux ni les humain·es n'aiment être trompé·es. Cependant, alors que de nombreux humain·es, en présence d'imitateurs humains, ont tendance à adhérer à la fausse narration du « transgenrisme », les animaux, quant à eux, font tout ce qu'ils peuvent pour dissiper les faux signaux.
Ces chevaux ne sont pas dupes du tour qui leur est joué. On les voit ici en train d'essayer d'enlever le déguisement des humains. Alors que les humains se croient malins, les chevaux flairent la vérité. Les chevaux disposent d'un système olfactif accessoire, l'organe voméronasal, qui détecte les phéromones et les odeurs volatiles. Les chevaux ont environ 300 millions de récepteurs olfactifs, ce qui est considérablement plus élevé que les humains (cinq ou six millions de récepteurs olfactifs).
Chez les animaux, « un intérêt unilatéral peut conduire à la spécialisation du récepteur de signaux (...) un intérêt unilatéral peut aussi conduire au démantèlement d'un signal ». Dans le mimétisme animal, le récepteur du signal a tout intérêt à pouvoir distinguer l'imitateur du modèle. Au niveau de la survie, les animaux en position de récepteurs de signaux essaient d'éviter d'être dévorés par une imitation de prédateur ou de déchiffrer quelles imitations de proies sont comestibles, ou encore d'arrêter la copulation avec une imitation de sexe. Étant donné les enjeux de survie que représente le fait d'être dupé par un imitateur, les animaux tentent de s'adapter pour reconnaître et dissiper les faux signaux. Lorsqu’un oiseau reconnaît le mouvement du gecko satanique pour ce qu'il est, il n'hésitera pas à en faire son repas. Cela est possible parce que les animaux ne nient pas leurs perceptions sensorielles et qu'ils ne subissent aucune pression extérieure ni aucun jugement interne les incitant à réagir contre leur propre intérêt. L'oiseau ne subit aucune dissonance cognitive ou pression émotionnelle qui l'empêcherait de se nourrir et de nourrir ses petits.
Manipulation émotionnelle
Comme nous l'avons mentionné dans la première partie, la collusion des intérêts de l'État et des entreprises a façonné la rhétorique populaire autour de la question des « transgenres[2] ». Cette ingénierie sociale comprend du matériel éducatif, des slogans et de la publicité qui disent aux publics ciblés comment ils sont censés penser à la question et de nier ce qu'ils perçoivent. Cette rhétorique se sert des outils de la fausse positivité [les mutilations génitales deviennent de la « body positivity », un homme barbu qui se dit femme également], de la honte, de la culpabilité, de l'empathie et du jargon tautologique pseudo-académique pour contrôler émotionnellement le récit de la pensée acceptable. Des mots comme « inclusion » et « validation » sont sournoisement positifs, destinés à susciter des sentiments d'altruisme, mais ils sont utilisés comme un moyen direct de violer les limites des femmes. L'« inclusion » en tant que principe n'a de valeur que lorsqu'elle est utilisée dans des circonstances appropriées. Lorsqu'il s'agit d'organiser une fête d'anniversaire pour une classe de CE2 à laquelle toute la classe est invitée, l'« inclusion » est une gentillesse. En revanche, lorsqu'il s'agit d’organiser la protection des femmes dans des espaces qui leur sont réservés, comme les prisons, les refuges, les sports, les vestiaires et les toilettes, le mot « inclusion » est en réalité synonyme d'« intrusion ». Il s'agit d'une violation de limites et, au lieu d’être une gentillesse, c'est une violence explicite envers les femmes et les filles.
Les revirements linguistiques émotionnellement chargés sont une tactique constamment employée au nom de ce programme. Des mots comme « bigot » et « transphobe » sont utilisés pour faire honte et vilipender celles et ceux qui refusent de nier la réalité du sexe. Ceux qui disent la vérité commettent des crimes de pensée (wrong think). Les femmes qui affirment qu'elles sont des êtres humaines différentes des hommes, qui exigent le respect de leur corps, qui luttent pour des protections basées sur la caractéristique immuable du sexe sont également appelées « TERF ». Ces mots sont destinés à faire honte, à vilipender, à dissuader et à faire taire. La culpabilité par association est également employée : tout comme avec les procès des sorcières de Salem et avec le maccarthysme, il faut non seulement avoir les bonnes croyances, mais aussi renoncer à fréquenter la sorcière, renoncer au rouge, renoncer à la TERF. L’opposition est férocement éradiquée avec de nombreux appels à l’émotion.
Les menaces de suicide sont également employées pour culpabiliser celles et ceux qui tentent de protéger les enfants d'une médicalisation inutile. Si un mari menaçait de se suicider pour empêcher sa femme de divorcer, la communauté psychiatrique reconnaîtrait à juste titre qu'il s'agit d'une tactique de manipulation narcissique. [Quel optimisme !] Mais les menaces de suicide sont systématiquement utilisées pour tenter d'attirer la sympathie sur l'« enfant trans ». L'invention de l'« enfant trans » est une manœuvre stratégique pour travailler sur l'empathie de ceux qui rejettent et/ou sont dégoûtés par les paraphilies des hommes adultes[3]. À l'époque où ces hommes étaient encore appelés « transsexuels », leurs opérations d'implantation mammaire étaient considérées comme un luxe, alors qu'aujourd'hui les doubles mastectomies pour les jeunes filles sont qualifiées de « salvatrices ».
Enfin, parmi les tactiques de manipulation émotionnelle, des mots comme « identité de genre », « cisgenre » et « dysphorie de genre » sont employés pour que celles et ceux qui se souviennent de leurs cours de biologie du lycée se sentent stupides, confus et en retard sur leur temps. Ces termes à consonance scientifique sont utilisés pour renverser notre compréhension fondamentale de la réalité. Nous sommes maintenant encouragées à nier ce que des millions d'années d'instincts affûtés par l'évolution nous ont inculqué, à nous ainsi qu’à tous les animaux, devant un jargon tautologique insensé. Comme l'a fait remarquer Jennifer Bilek, « le mot “transgenre” n'est pas adapté pour la communication[4] ».
Le mot « transgenrisme » n'est pas adapté à la communication. Il ne définit rien clairement et masque surtout l'industrie qui se manifeste dans son nom. C'est un terme parapluie sans frontières, sous lequel se cachent trop d'idées contradictoires, ce qui permet de changer de définition chaque fois que quelqu'un critique l’idéologie et les marchés qui se sont formés autour. En faisant de l'identité de genre un concept juridique, on déconstruit ce que signifie être humain, puisque nous sommes une espèce biologiquement et sexuellement dimorphique. Ce qui se passe, c'est que l'État-entreprise déconstruit le sexe pour nous aliéner de notre humanité [et nous vendre des identités]. Les discussions interminables sur l'« identité de genre » occultent ce fait.
Jennifer Bilek
Toutes ces tactiques — culpabilité, honte, empathie, fausse positivité et le jargon de la fausse expertise — sont des tactiques de manipulation émotionnelle mise en œuvre pour contrôler le discours et gérer la dissidence. Ces jugements externes sont destinés à travailler sur notre ego, où le choix qui s'offre à nous est de faire confiance à notre instinct et d'être étiquetée comme une méchante TERF, ou d'être une bonne personne à l'esprit progressiste. Nous sommes poussés à externaliser notre propre autorité interne, l'autorité de notre corps, de notre intégrité émotionnelle et de notre droit à nommer la réalité. Les animaux ne sont pas entravés par ce type de jugements mentaux lorsqu’ils répondent à leurs sens. Les chevaux de la vidéo ci-dessus ne se soucient pas de ce que les humains tricheurs pensent d'eux, ni de ce que les autres chevaux pensent d'eux lorsqu'ils tentent de démasquer le faux cheval. Leur réaction est instinctive, incarnée et confiante en leurs sens.
Dissipation
Cette ingénierie sociale de masse a été largement efficace. Beaucoup y croient, beaucoup l'acceptent publiquement et taisent leurs réserves. Seules quelques personnes rejettent et exposent ouvertement les mensonges. Si les humains se comportaient comme des animaux recevant des signaux face à un faux modèle, nous resterions ancrés dans nos sens et tenterions de voir ce modèle pour ce qu’il est plutôt que de participer à notre propre dissonance cognitive et à nos manipulations émotionnelles. Nous reconnaîtrions les tentatives évidentes de contrôle de notre perception, et nous nous interrogerions ouvertement sur les motivations non seulement des faux modèles, mais aussi sur l'objectif de ce programme.
Chez tous les animaux, la capacité adaptative de « détection des tricheurs » est une caractéristique vitale des espèces sociales, et les animaux qui en sont dépourvus risquent d'être consommés, de mourir de faim ou de ne pas poursuivre leur lignée par le biais de la reproduction. La capacité de détection est nécessaire à l'intégrité d'un groupe ou d'une société. Si l'on permet aux tricheurs de prospérer, c'est le groupe lui-même qui est en péril. Ironiquement, alors que nous reconnaissons encore ce fait et que nous en parlons dans nos revues scientifiques en ce qui concerne les sociétés animales, nombreux sont ceux qui se font les complices du déni de l'importance de reconnaître les tricheurs lorsqu'il s'agit de nos cultures humaines.
Par le biais d'une ingénierie sociale, d'une publicité et d'une propagande de l’envergure de Bernays/Big Tobacco, les humain·es sont incité·es s à vivre dans la dissonance cognitive et à nier leurs sens face à la pratique du mimétisme sexuel humain appelée « transgenrisme ». Les abracadabras linguistiques, les signifiants symboliques et les manipulations émotionnelles sont toutes utilisées pour contourner les instincts et nous dissocier de nos perceptions sensorielles directes de la réalité. Des jugements négatifs chargés de valeurs sont projetés dans la culture afin d'interrompre nos réponses primaires par des tergiversations mentales sur nous-mêmes. Les femmes sont humiliées et insultées parce qu'elles refusent de nier l'autorité de leur propre corps lorsqu'il s'agit de la reconnaissance du sexe. Or, nous ne pouvons ni comprendre ni analyser efficacement les crimes à caractère sexuel si nous ne reconnaissons pas le sexe et l'importance des protections et des droits basés sur le sexe. Plus important encore, en ce qui concerne le développement et la protection des enfants, on endoctrine les enfants pour qu'ils nient leur capacité à reconnaître le sexe. On leur dit de se méfier de l’autorité de leurs yeux et de leurs oreilles, de se méfier de l'autorité de leur propre corps lorsqu'il s'agit de reconnaître le sexe. Les enfants qui sont conditionnés à un état dissociatif ne peuvent pas développer une autonomie corporelle saine et des limites appropriées.
Faire confiance à l'autorité de nos propres perceptions sensorielles de la réalité est l'élément essentiel pour l’autoprotection et la survie. Nos homologues animaux ne sont pas pris dans des dissonances cognitives, des manipulations visuelles et des manipulations émotionnelles qui interfèrent avec leurs instincts de survie. En restant fidèles à nos instincts primaires, nous pouvons nous aussi dissiper les symboles des imitateurs qui nous entourent.
L’« homme en robe » n'est qu'un homme en robe, ni plus ni moins.
[1] Wickler, W. (1974). Mimicry in plants and animals. New York, NY: Would University Library.
[2] Voir les travaux de K. Yang,
https://www.stopfemaleerasure.com
et de Jennyfer Bilek, https://www.the11thhourblog.com/
[3] https://www.the11thhourblog.com/post/do-parents-stand-a-chance-against-the-trans-lobby-part-i
[4] https://americanmind.org/features/soul-dysphoria/humanity-for-sale/